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DNMS : quand une part blessée raconte son histoire

  • Photo du rédacteur: Véronique Blot
    Véronique Blot
  • 21 nov.
  • 1 min de lecture

Écouter une part blessée, c’est entrer dans l’intimité d’une mémoire. Dans le cadre du DNMS, ce moment marque souvent un tournant dans le processus de réparation.


La mémoire émotionnelle à l’œuvre

Quand une part blessée se sent enfin en sécurité avec les Ressources, elle peut commencer à raconter son histoire. Et ce récit n’est jamais anodin.

Recueillir cette histoire, c’est bien plus qu’écouter : c’est établir les faits, valider la douleur, répondre aux besoins et créer du lien. Le thérapeute reste présent, engagé, attentif à chaque nuance émotionnelle. Il ressent, il réagit, il compatit.


Un processus soutenu par les Ressources

Parfois, les émotions deviennent intenses. Alors les Ressources interviennent pour apaiser, réconforter, stabiliser. Le thérapeute guide ce processus avec douceur, en gardant toujours une image intérieure de cette part enfant qui a vécu quelque chose de trop difficile.

Peu à peu, la compréhension émerge. Et la part blessée découvre qu’elle n’est plus seule, que son vécu a du sens, et que ce qu’elle a ressenti était normal face à ce qu’elle a traversé.


Vous êtes thérapeute et utilisez le DNMS ? Partagez votre expérience ou contactez-nous pour approfondir ensemble.

 
 
 

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