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Croyances erronées et réalités réparatrices en DNMS

  • Photo du rédacteur: Véronique Blot
    Véronique Blot
  • 21 nov.
  • 1 min de lecture

En DNMS, les parts blessées portent souvent des croyances construites dans la douleur. Le rôle du thérapeute est d’y apporter une nouvelle compréhension.


Quand les croyances deviennent des freins

Certaines parts blessées expriment des croyances issues d’expériences vécues sans soutien :

  • « On ne peut faire confiance à personne. »

  • « Je suis mauvais si je me mets en colère. »

  • « Je ne mérite pas de guérir. »

Ces croyances ne sont pas des résistances. Elles traduisent un manque d’informations et des malentendus sur la sécurité, la valeur de soi ou le lien aux autres.


Le rôle informatif du thérapeute

Le thérapeute en DNMS fournit alors des informations correctrices, adaptées à la part blessée. Il ouvre la possibilité d’une autre réalité : qu’il est possible d’être en lien sans danger, d’avoir de la valeur simplement en étant soi.


Vous êtes thérapeute et utilisez le DNMS ? Partagez votre expérience ou contactez-nous pour approfondir ensemble.

 
 
 

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